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Tolérance: besoin d’augmenter la quantité d’exercice réalisé afin de ressentir l’effet désiré, qu’il s’agisse d’un sentiment de bien-être ou d’accomplissement ;
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Retrait: : en l’absence d’exercice, la personne ressent des effets négatifs tels que l’anxiété, l’irritabilité, l’agitation et les problèmes de sommeil ; (plus à ce sujet dans cette recherche de 2003)
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Manque de contrôle: échec des tentatives de réduire l’intensité ou la durée des séances sportives ;
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Effets d’intention: incapacité de se tenir à la routine prévue, comme le fait de dépasser le temps planifié pour le sport, ou d’aller systématiquement au-delà de la quantité de sport initialement prévue
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Temps : beaucoup de temps est consacré à la préparation, à l’engagement et à la récupération du sport;
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Réduction des autres activités: en conséquence directe du sport, les activités sociales, professionnelles et/ou récréatives sont moins fréquentes ou sont interrompues ;
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Continuité : continuer à faire du sport tout en sachant que cette activité crée ou exacerbe des problèmes physiques, psychologiques et/ou interpersonnels.
Bien sûr, il y a plusieurs façons de vivre cette situation, mais une chose est certaine : il ne faut pas être complètement dépendant pour ressentir la culpabilité et la honte associées au sport ou à son absence. Et parce qu’un excès de sport peut avoir de terribles conséquences sur la santé physique et émotionnelle, j’aimerais vous proposer quelques pistes pour réduire ou annihiler votre dépendance au sport – si vous vous reconnaissez dans les critères mentionnés ci-dessus :
1/ Se débarrasser des influences #fitspo
Il est clair pour moi que la dépendance à l’exercice est maintenue en vie par les messages dangereux qui circulent en ligne.